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Frédéric Bourret & Friends présentent

Métamorphose

 

urbaine

 

L’exposition sera ouverte du 6 juin au 9 juin de 12h-20h. Le vernissage aura lieu le 6 juin à partir de 18h30 jusqu’à 21h30. 

GALERIE 84

84 RUE DU TEMPLE 75003 PARIS

Une fusion artistique entre les photographies de Frédéric Bourret et les interprétations créatives d’artistes, donnent naissance à un dialogue visuel captivant.

La Galerie 84 est fière de présenter « Métamorphose Urbaine », une exposition qui offre une occasion singulière de présenter l’œuvre de Frédéric Bourret, enrichie par une collaboration dynamique avec des artistes venant de France et d’ailleurs. Frédéric expose ses photographies parisiennes tel une toile vierge où chaque artiste est convié à apposer leur signature, réinventant ainsi ces paysages urbains selon leurs propres perspectives artistiques et leurs univers imaginaires foisonnants.

Chaque artiste, avec sa touche personnelle, propose une vision unique de Paris, manifestée à travers une diversité de supports artistiques. Que ce soit par la peinture, la sculpture, la science, la musique… ou d’autres formes d’expression, ils créent ensemble un dialogue enrichissant sur l’influence et l’inspiration que la ville exerce sur l’art.

« Métamorphose Urbaine » repense l’exposition photographique traditionnelle pour créer un point de rencontre artistique captivant. Les œuvres de Frédéric Bourret s’accordent avec les expressions artistiques d’autres figures emblématiques de l’art, dans une harmonie d’images envoûtantes et de disciplines artistiques variées. Cette alchimie offre une expérience immersive et vivifiante, transportant les visiteurs dans un espace de liberté pour l’imagination.

Contact : Presse Amélie Pironneau 0660838611 pironneauamelie@gmail.com Frédéric Bourret : 0665263682 contact@fredericbourret.art www.fredericbourret.com

GALERIE 84

84 RUE DU TEMPLE 75003 PARIS

ALNOOR

Paris rencontre le Design

BIO

Français d’origine indienne, Alnoor est diplômé de l’École Supérieure de Design Industriel de Paris . Son travail va du flacon de parfum au mobilier en passant par le tapis et l’art de la table … il signe diverses collaborations avec des maisons prestigieuses telles que Dior, Graff, Hermès, Saint Louis ou Saint Laurent… Designer officiel de ROCHE BOBOIS, il fut récemment aussi directeur du design de la maison de parfum CARON , et dirige également l agence de design Objets de Convoitises à Paris. Il a reçu de nombreuses récompenses dont lauréat Découverte Maison & Objet , Achiever Award Créative CEW , Fragrance Foundation Design Award , Observeur du Design, et Red Dot award. Ses créations qui explorent un design basé sur la part émotionnelle et symbolique des objets gardent une identité singulière synonyme du « french art de vivre » ! #alnoordesignparis www.alnoordesign #objetsdeconvoitises www.objetsdeconvoitises.com

HOSSAN LEONG

Paris rencontre Singapour

BIO

Hossan Leong, Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres, a medal bestowed by the Republic of France, is one of 

Singapore’s most loved and recognised entertainers. Affectionately known as 

‘Singapore Boy’, Hossan is a consummate performer whose skills include 

directing theatre and television, singing, dancing, acting, piano playing, and stand-up comedy. He is 

actively involved across many artistic genres and platforms. Together with Paul Carr, he is the Creative Director of 2 companies in Singapore and Malaysia.

His fluency in French has given him the opportunity to work with the French Embassy, the Alliance Française and the French Community, building cultural links between cultures.

 

Hossan Leong, Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres, une médaille décernée par la République française, est l’un des artistes les plus aimés et reconnus de Singapour. Affectueusement surnommé le ‘Singapore Boy’, Hossan est un artiste accompli dont les talents comprennent la mise en scène théâtrale et télévisuelle, le chant, la danse, le jeu d’acteur, le piano et le stand-up. Il est activement impliqué dans de nombreux genres artistiques et plateformes. Avec Paul Carr, il est le directeur créatif de deux entreprises à Singapour et en Malaisie.

Sa maîtrise du français lui a permis de travailler avec l’Ambassade de France, l’Alliance Française et la communauté française, construisant des liens culturels entre les cultures.

 

CHARLES ANTOINE

Paris rencontre les sciences

BIO

Charles Antoine est né à Clermont-Ferrand le 10 février 1977. Maître de Conférences à  Jussieu, Sorbonne Université, il est docteur en physique théorique et chercheur au Laboratoire de Physique Théorique de la Matière Condensée depuis 2007. Ses activités de recherche et d’enseignement universitaire portent sur la physique quantique, la relativité, le chaos et la complexité, les symétries et la physique mathématique.

Passionné par l’histoire, la philosophie et les arts de toutes sortes, il est également très investi dans la transmission de ses connaissances et passions, en particulier dans la transmission de la physique quantique. Conférencier, traducteur et auteur de plusieurs livres tant de niveau universitaire que de vulgarisation, sa démarche consiste à explorer de nouvelles manières de transmettre les connaissances les plus pointues en science, via par exemple la réalisation d’ateliers pratiques pour le grand public ou la création de spectacles mêlant arts et sciences, comme le spectacle « equiQuanto » où la physique quantique est racontée sous forme de spectacle équestre dessiné en direct par l’artiste Paul Kichilov.

Il s’intéresse aussi à la question du langage et des biais cognitifs à l’œuvre lors de cette transmission des sciences, et est par ailleurs responsable, à Sorbonne Université, de la formation en double cursus « Science & Design » en partenariat avec l’école nationale du Design (ENSCI).

Dernières publications  : 
 
– « Schrödinger à la plage, la physique quantique dans un transat », Dunod 2022 (livre de vulgarisation grand public)
 
– « L’art de montrer l’invisible, l’autre révolution quantique », revue PLASTIR, No 72, mars 2024 (article sur les liens entre les arts et la physique quantique)
 
Dernière représentation théâtrale : « equiQuanto », au Théâtre la Reine Blanche, à Paris, le 16 décembre 2023.
 

Dernière intervention publique : « Comment éviter les biais d’interprétation de la parole scientifique ? », au Théâtre de la Ville le 25 novembre 2023, dans le cadre de la rencontre participative « L’Agora des Nanos » avec les physiciens Nathalie Lidgi-Guigui et Giancarlo Rizza, et le neuroscientifique Albert Moukheiber.

Prochaines interventions publiques :

– samedi 25 mai 2024 à 10h : « Quantum computing: towards a realistic approach » avec Jean-Baptiste Latre au Quantum Village du salon VIVATECH à Paris, Porte de Versailles.

– jeudi 12 juin 2024 à 21h : « Enjeux et mystères du monde quantique », conférence grande public à La Moquette, Les Compagnons de la nuit, au 15 rue Gay-Lussac à Paris.

EMMANUEL STROOBANT

Paris rencontre la haute gastronomie

BIO

À seize ans, Emmanuel Stroobant était bien parti pour réaliser son rêve d’enfance de devenir avocat lorsqu’un stage dans l’un des meilleurs restaurants de Belgique a déclenché une passion durable pour les arts culinaires. Attiré par l’agitation de la vie en cuisine, Emmanuel a ensuite appris les ficelles du métier auprès de maestros tels que Pierre Romayer de la Maison de Bouche, récompensée de trois étoiles MICHELIN, et Francis Dernouchamp de l’Hostellerie Saint-Roch, distinguée de deux étoiles MICHELIN.

Si ses années formatrices ont été consacrées à l’apprentissage de la cuisine française classique, son passage en Australie, en Malaisie et à Singapour l’a exposé au monde innovant de la cuisine fusion moderne. Saint Pierre est né en décembre 2000, un restaurant gastronomique mettant en valeur une fusion des techniques culinaires françaises avec une touche asiatique. Il a également établi Emmanuel comme l’un des pionniers de la cuisine française moderne à Singapour, dans un pays alors largement dominé par les restaurants français traditionnels et les steakhouses américains.

Au fil des ans, l’influence d’Emmanuel dans l’industrie a grandi avec une série croissante de récompenses; il a été nommé Chef de l’année par le World Gourmet Summit en 2002 et 2006. Avec son équipe, Saint Pierre a obtenu sa première étoile MICHELIN en 2017, l’a conservée en 2018 avant de passer à deux étoiles MICHELIN en 2019, une distinction que le restaurant détient depuis lors, plaçant ainsi le restaurant sur la carte culinaire mondiale et scellant la position d’Emmanuel en tant qu’innovateur dans l’industrie de l’alimentation et des boissons.

Malgré les nombreuses acclamations élogieuses des médias et du Guide MICHELIN Singapour, il conserve un focus intense sur la propagation de sa marque unique de cuisine française contemporaine auprès de ses convives. À la suite du récent relooking de Saint Pierre, son nouveau menu s’inspire du Cercle Zen, qui symbolise l’illumination et la libération de l’esprit pour créer sans réserve, un principe auquel l’adepte de yoga passionné adhère.

« La cuisine de Saint Pierre aujourd’hui est le reflet de mon parcours culinaire et de la manière dont je jongle entre l’Est et l’Ouest. Au fil des ans, j’ai évolué et affiné ma compréhension de la cuisine interculturelle pour rechercher l’équilibre dans l’assiette », déclare le Singapourien de 54 ans.

Outre son restaurant phare Saint Pierre, Emmanuel étend également son empreinte avec d’autres concepts, notamment le restaurant de sushi Shoukouwa, SQUE et le Royaume des Belges. Il est l’auteur de deux livres de cuisine, Cuisine Unplugged et Vine Dining – White. En plus de sa propre série télévisée, Chef in Black, Chef in Black II et 36 Ways to Live, Emmanuel est également recherché pour ses services de conseil. Son influence dépasse Singapour : il a récemment lancé un nouveau projet, Tusita Fine Dining à Siem Reap, qui vise à mettre la cuisine cambodgienne sur la scène internationale. Conférencier invité lors de conférences à Singapour, telles que Food That Heals, et dans la région, Emmanuel est un fervent défenseur de la pleine conscience et de la vie saine.

ELOISE VALLI

Paris rencontre la peinture

BIO

Eloise Valli, une histoire de famille. Il est fascinant de voir comment l’art et la créativité ont joué un rôle central dans la vie d’Eloïse Valli. Son grand-père a pris la décision courageuse de quitter l’Italie pendant la Seconde Guerre mondiale pour s’installer à Vesoul. Il a ouvert une école et un magasin de musique, mettant en valeur sa passion pour l’éducation et la musique. En plus de cela, il était talentueux en dessin. Sa grand-mère jouait de la batterie et sa mère s’adonnait à la peinture sur soie. Son père, en tant que musicien professionnel, a poursuivi l’entreprise familiale.

Cependant, malgré cette riche tradition artistique, Eloïse Valli a eu des doutes quant à reprendre le flambeau. Son père l’avertissant des difficultés de vivre de l’art pour l’encourager à choisir une carrière plus conventionnelle. Le fameux conseille du « vrai métier ». Et puis les opinions et les conseils qui sont souvent motivés par l’inquiétude.. ce qui donne le souci du choix pour une stabilité financière.

L’incertitude de l’artiste Eloïse Valli Il est compréhensible que l’artiste qui sommeil en elle, hésité face à ces pressions et incertitudes. Cependant, Eloïse Valli va décider de suivre sa propre passion et de choisir sa voie, son destin qui la rendra heureuse et épanouie. L’art peut être un domaine exigeant, mais cela ne signifie pas qu’il est impossible d’en vivre. De nombreux artistes réussissent à concilier leur passion et leur carrière. Si vous ressentez une véritable passion pour l’art, il est important d’explorer cette voie et de voir où elle peut vous mener. Vous pouvez trouver un équilibre entre votre passion artistique et la nécessité de subvenir à vos besoins financiers. Il existe de nombreuses avenues artistiques, des opportunités d’exposition, de vente d’œuvres d’art et d’autres moyens de partager et de monétiser le talent.

Et d’ajouter ; « Rappelez-vous que votre parcours est unique et qu’il est important de suivre votre propre voie ». Si l’art vous inspire et vous épanouit, vous pouvez trouver des moyens de le poursuivre tout en répondant à vos besoins financiers. Le plus important c’est d’écouter son cœur, faire confiance à sa passion et de ne pas en avoir peur. Poursuivre ses rêves artistiques.

Eloïse Valli Une passion formidable C’est formidable de savoir qu’Eloise Valli a suivi sa passion pour l’art et est devenue une artiste peintre et actrice reconnue du grand public. Malgré les doutes et les pressions auxquels elle a pu faire face, elle a persévéré dans sa voie artistique et a réussi à se faire un nom dans le monde de l’art et du spectacle. Le fait qu’Eloise Valli soit reconnue du grand public témoigne de son talent. Et puis de son dévouement et de sa capacité à toucher les gens à travers son art. En tant qu’artiste peintre, elle utilise son talent pour créer des œuvres visuellement captivantes et expressives. En tant qu’actrice, elle incarne des personnages et raconte des histoires qui résonnent auprès du public. Eloïse Valli inspirante Il est inspirant de voir comment Eloise Valli a pu surmonter les doutes et les obstacles pour réaliser ses rêves artistiques. Sa réussite est un exemple encourageant pour ceux qui poursuivent une carrière artistique. Tout en montrant qu’il est possible de concilier passion et succès professionnel. En tant qu’artiste peintre et actrice reconnue, Eloïse Valli a sûrement un impact significatif sur le monde de l’art et du divertissement. Son travail artistique et ses performances contribuent à enrichir notre culture et à inspirer les autres. Nous saluons le parcours d’Eloïse Valli et nous lui souhaitons beaucoup de succès continu dans sa carrière artistique. Que son art continue d’émouvoir et de captiver le public, et que son talent continue de briller à travers ses créations et ses performances.

BEATRICE BISSARA

Paris rencontre l’inspiration

BIO

Béatrice Bissara explore les concepts de perception et de conscience à travers diverses propositions artistiques telles que des peintures « sculptées », des installations synesthésiques et des livres-murmures. Son concept d' »Écologie de la Conscience » remet en question la vision anthropocentrique et dualiste de l’homme vis-à-vis du cosmos.

En reliant Corps-Espace-Temps et Conscience, elle interroge l’évolution de notre relation avec le monde, soutenue par des scientifiques comme Jean-François Houssais et Michel Bitbol du CNRS. Cette collaboration entre art et science montre comment l’art rend visible ce que la science exprime par des concepts abstraits, offrant ainsi une voie royale vers la connaissance de soi.

À travers la sculpture, la peinture, les installations lumineuses et cinétiques, Béatrice Bissara crée des expériences immersives qui abolissent les frontières entre corps, espace, temps et conscience. Ses œuvres explorent le dialogue entre mouvement, son, couleur et forme, offrant une expérience sensorielle et poétique.

Les dispositifs synesthésiques de ses « Oscillations intérieures » ou les « Connected Dreamboxes » évoquent les battements du cœur et invitent à la connexion, tandis que ses peintures sculptées et ses livres-murmures facilitent la méditation tout en exprimant la fluidité du mouvement à travers la lumière et la couleur.

MARLENE DELCAMBRE

Paris rencontre l’art photographique

BIO
Marlène Delcambre est photographe de mode et artiste plasticienne.
Elle utilise la photographie, la vidéo et l’écriture comme support d’une narration de sa sensibilité dans le monde qui l’entoure. Elle travaille principalement l’autoportrait et procède à une mise en scène à vocation analytique, teintée d’ironie, de poésie ou d’absurde. Le sujet peut être une réalité constante ou un évènement qui nous traverse.
Le but étant de caricaturer, de dénoncer, ou de prendre le sujet avec dérision et légèreté avec comme principale velléité de faire sourire le spectateur et de l’émouvoir. Pour elle, l’autoportrait n’est pas un dialogue entre l’artiste et lui-même, c’est un dialogue avec le spectateur.
OLIVIER BRACHAT

Paris rencontre l’art brut

BIO

Olivier Brachat est un homme qui aimerait être sérieux, comme sa profession l’oblige.

Collectionneur d’objets et d’œuvres qui parlent préférentiellement des reflets du sacré archaïque, art brut, art, tribal, art, contemporain explorant, les archétypes, art religieux Indo asiatique, fasciné par le principe des techniques archaïques de l’extase, bien étudié oar Mircea Eliade, il invite régulièrement ses amis à se perdre dans une forêt de signes et d’esprits qui parlent d’un monde qui existait avant que l’enchantement ne le déserte. 

Il propose à l’occasion des créations artistiques qu’il espère empreinte de cette magie.

LEA FAY

Paris rencontre la peinture à l’huile

BIO

Mon travail se concentre autour du tracé et de la couleur. Inspirée par la finesse des estampes japo- naises et par les peintures impressionnistes/fauvistes, je cherche à créer de l’organique, du vivant, à travers des lignes simples, continues et des jeux de lumières. Je peins essentiellement à l’huile, ce qui me permet d’avoir un coup de pinceau lâche et vif. Je désire ainsi faire jaillir une impression de vie, comme s’il s’agis- sait d’un instant suspendu, volé au temps, à l’existant.

Émerveillée par la délicatesse, l’effroi, l’amour que peut suggérer le monde animal, j’adore essayer de reproduire ces sentiments. J’aime représenter les fourrures, les plumes, les écailles, par de grands traits de pinceau. Je contraste avec une peinture beaucoup plus minutieuse pour certains détails, tels que les yeux, afin d’accentuer l’expressivité de mon univers artistique. A l’image de Jérôme Bosch, je veux déconstruire mon imaginaire pour constituer mon bestiaire de monstres totalement inattendus. Je donne à chaque ani- mal une portée symbolique. C’est alors que naissent des chimères qui recèlent des significations et émo- tions particulières.

J’explore le monde animal terrestre et sous-marin d’une manière presque scientifique. A travers mes découvertes je tente de comprendre le puissant lien qu’il existe entre l’humain et l’animal. Chacune de mes créations est un questionnement de notre rapport à l’existant et de la place que nous y occupons.

AGNES MALTERRE

Paris rencontre la sculpture

BIO

Fille et petite-fille d’artistes, Agnès Malterre se distingue dès son plus jeune âge par ses dessins. Sa mère, Liliane Malterre, peintre reconnue, pressent chez la fillette, un vrai don de coloriste.

Après avoir fréquenté les ateliers de la Ville de Fresnes, elle entre à l’Académie des Beaux-Arts à 17 ans, mais se prétend cependant autodidacte. Plus tard, elle commencera une carrière de journaliste dans la mode, qu’elle intègrera ensuite comme styliste en proposant ses dessins textiles dans le sentier.

Mais le médium qu’elle aime particulièrement, comme son nom la prédestine, c’est la terre, ce qui l’amène à fréquenter Yvonne Savigny, amie de Nicky de Saint-Phalle, qui lui enseignera durant dix ans l’alchimie des couleurs par rapport à la terre et grâce à laquelle elle se spécialisera dans la faïence. « La céramique vit et évolue en permanence et tout comme le verre, reçoit, prétend l’artiste en caressant délicatement à l’aide d’un pinceau, une patine d’un blanc crayeux » (Mylène Vignon)

La céramique est le relief de mon intimité profonde. J’ai choisi le modelage pour m’emplir de terre, autour du vide et de l’intérieur.

Des silences qui vous parlent et des creux qui vous inspirent.

La matière qui se ressente comme l’ombre et la lumière avec des nuances de couleurs qui se révèlent par le temps ; une vraie qualité d’existence.

Un moment d’apaisement, un support à la méditation et au recueillement.

THEOPHILE ARCELIN

Paris rencontre l’artiste

BIO

Ma dernière série de peintures se concentre sur les thèmes des mondes invisibles du sacré et de la nature que j’explore en mettant en scène des personnages dans des décors naturels et luxuriants. J’aime mélanger des éléments figuratifs et abstraits pour créer des images surréalistes et énigmatiques qui invitent le spectateur à s’engager dans un dialogue intime sur les questions universelles qui sous-tendent ma pratique artistique. En ce moment, je suis particulièrement inspiré par les mystères de la nature, les cultures spirituelles du monde, ainsi que mes voyages en Asie, J’ai également un profond intérêt pour les rituels et les pratiques sacrées provenant d’autres cultures, tels que ceux d’Amérique du Sud et d’Afrique. L’anthropologie visuelle, notamment le travail de l’ethnologue et cinéaste Jean Rouch, a également eu une influence significative sur ma démarche artistique. Cette combinaison d’expériences et d’explorations culturelles nourrit ma créativité et se reflète dans mes œuvres artistiques, qui cherchent à capturer l’essence mystique et universelle de ces différentes influences. Ma dernière série de peintures se concentre sur les thèmes des mondes invisibles du sacré et de la nature que j’explore en mettant en scène des personnages dans des décors naturels et luxuriants. J’aime mélanger des éléments figuratifs et abstraits pour créer des images surréalistes et énigmatiques qui invitent le spectateur à s’engager dans un dialogue intime sur les questions universelles qui sous-tendent ma pratique artistique. Cette série de peintures est une exploration intime de mon expérience de perdition dans une forêt népalaise. Ces œuvres saisissent les fragments de souvenirs qui me reviennent sporadiquement, alors que ma mémoire de cette période est très floue. Suite à une fièvre dévastatrice, mes proches rapportent que j’étais plongé dans un délire total. Trois jours plus tard, je me suis retrouvé au bord du lac de Pokhara. À travers ces tableaux, je tente de capturer immédiatement ces souvenirs fugaces sur la toile, dans l’espoir de les comprendre et de les exprimer, peut-être même de les transformer en un récit plus vaste, qu’il s’agisse d’un film ou d’un roman, pour explorer cette expérience mystique en profondeur.

YVO ABADI

Paris rencontre la musique

BIO

Yvo est autodidacte et commence à l’âge de 13 ans à jouer du tambour classique et de la batterie. Il se perfectionnera en jouant sur scène avec des groupes et des styles très variés (brésilien, africain, oriental, jazz, funk, rock) à Paris. Parallèlement, il rentre aux Arts appliqués où il étudiera le dessin et la sculpture.

 

 

Albums et scène

 

Yvo Abadi a participé à de nombreux albums et concerts, la liste étant longue, voici un résumer dans les grandes lignes.

 

 

A la fin des années 80, il rencontre Guesch Patti avec qui il enregistre plusieurs albums dont celui où apparaît « Etienne Etienne ». Pendant des années, Yvo est également son batteur pour les tournées et concerts.

 

Au début des années 90, il intègre le groupe Pow Wow dont il devient le percussionniste et seul musicien pour les albums (Le chat, Le lion est mort ce soir, etc.) et les tournées.

 

Au début des années 2000, Yvo est recruté comme batteur par le groupe Tarmac créé par Gaëtan Roussel et Arnaud Samuel suite à la scission du groupe Louise Attaque : Yvo enregistre deux albums et part en tournée.

 

 

A cette période, Yvo participe au premier album d’Emilie Simon qui remportera le Prix Constantin en 2003 et la récompense d’Album de musiques électroniques, groove, dance de l’année » au Victoires de la musique 2004.

 

 

Depuis 2003, Yvo a rejoint le groupe malien Amadou & Mariam dont il est le batteur encore actuellement. Cela lui offre l’opportunité de parcourir les scènes du monde (ouverture de la coupe du monde de football en Afrique du Sud en 2010, première partie de U2, de Coldplay etc.) et de participer au projet Africa Express de Damon Albarn. Il se retrouve alors à jouer avec ses idoles John Paul Jones (bassiste de Led Zeppelin), Mick Jones (guitariste des Clash) ou encore David Guilmour (Pink Floyd). Il partira par deux fois en tournées aux Etats-Unis avec les Blind Boys of Alabama.

 

 

Composition, édition, enregistrement et production depuis les années 2000, Yvo a créé son propre studio dans les locaux du cinéma Le Louxor à Barbes avec son ami musicien Miguel Saboga et s’entoure d’une équipe de musiciens et d’ingénieurs du son. Le studio sera par la suite transféré à Saint Ouen.

 

Depuis sa création, l’équipe de LOUXOR MUSIC a notamment composé et enregistré :

 

– une trentaine d’albums pour des librairies musicales ainsi que des musiques de Pub

 

Musique et bien être…

 

Dès les années quatre-vingt/quatre-vingt-dix, Yvo s’intéresse aux rencontres artistiques mêlant expériences musicales et corporelles. Il intervient ponctuellement dans des ateliers de danse thérapie pour créer un univers sonore.

 

Peu avant les années 2000, Yvo rencontre alors le professeur de yoga Mika Debrito avec lequel il découvre cette discipline et la pratique. Depuis, le yoga fait partie de son univers quotidien.

 

Avec Mika, il partagera des voyages (Indes, sri Lanka) au cours desquels leur accointance pour le yoga les rapprochera davantage.

Ensemble, Yvo et Mika ont enregistré plusieurs albums de musique pour le yoga

 

Ils ont également organisé des ateliers de Yoga en musique au Musée du Quai Branly ainsi que dans des festivals de yoga.

TIMOTHEE LEMAN

Paris rencontre la bande dessinée

BIO

Timothée Leman est né en banlieue parisienne, dans le 94 (Sucy-en-Brie) – il a passé son enfance à Boissy-saint-léger.

Après un Bac littéraire, il part vivre à Nantes pour faire l’école Pivaut. En 2014 il est diplômé de la section bande dessinée et, la même année, repéré par une association spécialisée dans la BD, L’ŒIL DE JACK.

Il est repéré par l’association Octopus, spécialisée en bande dessinée (anciennement L’Œil de Jack) et qui aide les jeunes auteurs à démarrer : vente d’originaux, mise en contact avec d’autres auteurs, avec des éditeurs… Et c’est ainsi qu’en 2017 il signe chez Sarbacane, Les Aériens, un roman illustré de la collection Pépix Noir qui a été son premier travail édité. Après le Monde est sa première Bande Dessinée.

Parue le 3 avril la BD Borderterre, cliquez sur ce lien pour la découvrir. 

EMILIE DAVID

Paris rencontre le tatouage

BIO
Émilie David est mon blase d’artiste,
Artiste tatoueuse dans la vie, et peintre illustrateur à mes heures perdues.
Passionnée par l’art depuis gosse.
J’ai fait le choix de faire des études d’art afin de réaliser mes passions. Je suis passée par des cours de dessins enfant puis j’ai couru aux beaux-arts de Versailles après le bac j’étais pas à ma place au lycée et j’ai fini par faire des études de graphisme histoire afin d’avoir un diplôme.
Par la suite, je suis devenue graphiste mais je me suis vite lassée et je tenais pas en place alors j’ai j’ai décidé de devenir tatoueuse… et d’utiliser toutes mes compétences dans le domaine afin de rendre mes toiles vivantes !
Un parcours assez chouette mais dur ! Quand on fait le choix de faire des études d’art et de travailler dans le milieu faut mettre de côté sa fierté et accepter les critiques.
Et surtout ne jamais baisser les bras et continuer à avancer. Je cherche pas la gloire je cherche juste à illuminer ma vie en couleur !
ELIOT JENICOT

Paris rencontre la comédie

BIO

Elliot Jenicot est un comédien et un acteur belge. Il suit une formation d’éducateur social pendant laquelle il découvre l’art clownesque et la pantomime. En 1992, il écrit son premier one-man-show, Comedy on tour, entièrement visuel qu’il joue en Europe sous le pseudonyme d’« Elliot » et qui est récompensé par le Grand prix et le prix de la presse au Festival du rire de Montreux.« Je suis un clown, mais avant tout un comédien. Je n’ai jamais pris de cours. Ma formation vient du music hall, du mime, de la comédie ». En 1999, son spectacle burlesque Awards qui parodie les cérémonies de remises de prix est joué en langue frenchygnol qui mélange le français, l’anglais et l’espagnol en Allemagne, en Suisse et en Autriche. En 2003, « Elliot » remonte sur scène dans une version modifiée de Awards. Le spectacle joué plus de 500 fois en France (notamment au Festival d’Avignon en 2004 et 2007), en Espagne, en Belgique, remporte plusieurs prix internationaux (Festival d’humour de Saint-Gervais, Festival de théâtre d’humour de Madrid, Festival de théâtre de Valparaiso). En 2009, avec la complicité de Xavier Viton, « Elliot » crée Je m’sens très Glad notamment au Théâtre du Petit Gymnase de 2010 à 2011. Lors d’une de ses représentations, Muriel Mayette-Holtz, administratrice générale de la Comédie-Française, lui propose d’entrer dans la troupe6. Il est pensionnaire de la Comédie-Française de 2011 à 2019. Depuis 2019, on peut le voir dans différents spectacles, pièces de théâtre ou à l’écran. Elliot Jenicot est le quatrième belge à être engagé en tant que pensionnaire et le deuxième comédien en provenance du music-hall après Raimu.

AMBRE BOURBIER

Paris rencontre la jeunesse

BIO

Je suis Ambre Bourbier.
Actuellement en 2e année de direction artistique à l’ESAG Penninghen, j’explore différents domaines artistiques.
Depuis mon enfance, je créais, imagine et rêve.
J’ai donc fait le choix de faire une école d’architecture (ENSA), afin d’inclure cette passion de la création au cliché du bon salaire par crainte de la vie future.
Durant cette année, je me suis épanouie, mais j’ai tout de même compris que ça n’était pas cohérent à 100% avec ma personnalité.

Je suis donc étudiante en direction artistique.
Cela est plus cohérent avec ma tendance touche-à-tout.
Que ce soit à travers la musique, les sports en tout genre ou encore la cuisine, je peux exploiter ma curiosité pour développer une grande variété de projets.
Je m’exprime à travers l’illustration, la photographie, la vidéo, la peinture, la musique…
Tous les moyens possibles et inimaginables d’expression.

ERIC VAL-HARBOIT

Paris rencontre la performance

BIO

Artiste dont la biographie reste obscure, apparu, il y a une douzaine d’années dans le ciel artistique parisien, il s y distingue par le secret qui entoure son travail. Images photographiées, reflets inexpliqués, techniques mixtes, de dessin automatique en condition de conscience modifiée, l’œuvre finale invite à se perdre et à l’interprétetation personnelle, qui devient la propriété mystérieuse des collectionneurs qui nombreux vivent avec un fragment de (ses/leurs) rêves.

MARGHAN

Paris rencontre le stylo bic

BIO

Je suis Gaël Charron, un artiste émergent qui explore les intrications du dessin au stylo et de l’écriture. Sous le nom d’artiste « Marghan« , je fusionne ces deux formes d’expression pour créer des œuvres captivantes. Bien que je ne puisse revendiquer un héritage artistique illustre, mon parcours est marqué par une passion innée pour la créativité qui m’anime depuis toujours. Chaque coup de stylo est pour moi une exploration de la complexité humaine, une plongée dans les méandres de l’âme. À travers mes dessins, j’essaie de capturer les émotions et les histoires qui habitent chaque individu, offrant un aperçu de la richesse de l’expérience humaine.

Accompagnant mes dessins, mes textes ajoutent une dimension supplémentaire à mes créations, permettant aux spectateurs de plonger encore plus profondément dans mon univers artistique. Dans chaque mot, je cherche à transmettre des émotions, des réflexions et des histoires qui résonnent avec le cœur de ceux qui contemplent mes œuvres. Mon chemin artistique est parsemé de défis et d’obstacles, mais c’est précisément dans ces moments de lutte que je puise ma résilience et ma détermination. Chaque création est un pas de plus vers la réalisation de mon potentiel artistique, et chaque œuvre est une offrande de ma vision du monde.

Je crois fermement que mes œuvres vont évoluer au fur et à mesure de la résilience sur laquelle je travaille. Comme je surmonte les obstacles et que je grandis en tant qu’artiste et en tant qu’individu, les couleurs vont prendre place progressivement dans mes œuvres, reflétant la lumière et l’espoir qui émanent de cette résilience. J’ai eu l’opportunité d’exposer mes œuvres au Kamu à Clichy ainsi que dans la galerie « Village Suisse » dans le 15ème arrondissement de Paris. La réception positive de mes créations m’a incité à participer à la deuxième édition de l’exposition au même endroit, une occasion de partager une fois de plus ma passion avec un public toujours plus large.

À travers mon art, je cherche à inspirer, à émouvoir et à élever ceux qui le contemplent, offrant un refuge dans la beauté et la vérité de l’expression artistique. Mon nom d’artiste, Marghan, est le reflet de cette quête constante de sens et de connexion à travers l’art, une invitation à explorer les profondeurs de l’âme humaine à travers mes créations. Eugène Boudin était mon arrière-grand-père, une figure dont l’empreinte artistique continue d’influencer ma propre exploration créative, me reliant ainsi à un héritage artistique riche et inspirant.

AXEL MASSON

Paris rencontre la fougue

BIO

Je m’appelle Axel Masson, j’ai 19 ans et je suis actuellement en deuxième année d’études en direction artistique à Paris. Né en France dans les années 2000, j’ai été immergé dans la culture Internet et les jeux vidéo dès mon plus jeune âge. Passionné par le dessin et la technologie depuis l’enfance, j’ai immédiatement voulu explorer autant de médiums d’expression que possible. C’est ainsi que je me suis retrouvé à l’ESAG Penninghen à Paris. J’ai débuté dans le monde de l’art numérique et laissé ma curiosité errer dans les méandres des paramètres Adobe. Trop attaché à ma technologie bien-aimée (et à mon portefeuille), je n’ai pas pu résister à l’achat d’un ordinateur portable pour mes études, ce qui fait de moi le seul graphiste qui n’est pas sur un Mac. Ne vous méprenez pas, j’ai toujours aimé mettre la main à la pâte, au point de monter mon propre PC à l’âge de 15 ans et d’accompagner mes amis dans leur configuration. Aujourd’hui, je suis fier d’être ce touche-à-tout qui explore, au-delà de la technologie, toutes les façons de peindre ce qui vient à mon imagination.

FENG

Paris rencontre la photographie

BIO

Photographe professionnelle depuis 2005,  elle vit et travaille en France.

Elle a réalisé une vingtaine d’expositions solo ou en collectif notamment à Paris, Londres, Bruxelles, Malaga, Shanghai.

Elle a publié plusieurs livres de photographies

Elle a collaboré avec plusieurs magazines institutionnels et privés 

Elle a créé la galerie Feng Shang en 2022 à Reims.

OLIVIER BAGUET

Paris rencontre l’encadrement

BIO

DIANE LOTUS

Paris rencontre la mise en scène

BIO

Comédienne, Autrice, Metteur en scène

Fondatrice de la Compagnie Les Coureurs de Jardin en 2019, elle joue et met en scène à Paris Mangeront-ils ? de Victor Hugo et Le Mari, la Femme, l’Amant, de Sacha Guitry, tout en poursuivant des études de recherche en théâtre à la Sorbonne. En 2023, elle présente au Théo Théâtre sa première pièce, Vie et mort d’un poète, le récit d’un jeune homme fou de poésie qui rencontre la réalité impitoyable du milieu de l’édition. La pièce est prolongée plusieurs fois et connaît un beau succès. Sa deuxième pièce, en construction, allie le théâtre à la peinture au travers d’une figure d’artiste renommé.

Son travail s’oriente aussi bien sur la dramaturgie, l’interprétation, la mise en scène que sur l’écriture poétique. Elle écrit depuis plus de 15 ans des textes, nouvelles, poèmes, romans, dont certains ont été primés.

TESSA LAROCHE

Paris rencontre la vigne

BIO

Tessa Laroche, la vigneronne de renom de la Roche-aux-Moines en Anjou, représente l’excellence dans l’art de la viticulture. Avec un domaine de 12 hectares dans une appellation rare, elle maintient la tradition familiale datant du Moyen Âge. Sa mère, Monique Laroche, a joué un rôle crucial dans l’établissement de la réputation viticole de la région. Tessa produit des vins rares et vivants, notamment sa cuvée emblématique, mais elle explore également de nouveaux horizons avec des vins comme le Berceau des Fées, démontrant son innovation et son audace.

Elle maîtrise l’art du chenin, un cépage polyvalent qu’elle compare à un cheval qu’il faut savoir canaliser. Anciennement spécialisée dans les vins liquoreux, elle s’adapte aux évolutions des préférences du marché, privilégiant désormais des élevages longs et une approche peu interventionniste pour créer des vins qu’elle aime boire elle-même. Passionnée de champagne, elle affiche des goûts exquis en matière de vin.

Quant à la relève, Tessa voit ses vignes comme ses enfants, assurant la pérennité du Domaine aux Moines. Son engagement envers la tradition et l’innovation promet un avenir brillant pour cette reine des chenins, qui, comme le dit le proverbe, continuera sûrement à faire couler le vin aussi longtemps que le ciel et les fées le permettront.

M.TOLEDO – O.HERSEN

Paris rencontre la joaillerie

BIO
Mila Toledo est une entreprise de joaillerie française présente sur le marché international depuis plus de 40 ans. La marque Mila Toledo est née au Venezuela après que sa créatrice, Mila Toledo, ait participé et remporté des concours de beauté. La jeune Mila Toledo a lancé sa célèbre collection « Happy Colores » dans les années 1980. Aujourd’hui, la maison de joaillerie Mila Toledo participe à divers concours de beauté à travers le monde, et c’est là, en particulier, que ses bijoux peuvent être appréciés. On promeut également l’art. C’est pourquoi la maison de joaillerie Mila Toledo présente, par l’intermédiaire de son directeur créatif Otto Hersen, l’œuvre d’art « Éphémère ». Un concept illustrant la vision intemporelle de nos quatre saisons, entre la vie moderne et la nature.
FREDERIC BRUNELIA

Paris rencontre l’insondable

BIO

Frédéric Brunelia est un artiste connu pour sa créativité débordante et sa discrétion. Bien qu’il soit reconnu dans les cercles artistiques, il préfère laisser ses œuvres parler pour lui. Son travail est caractérisé par une exploration profonde des émotions humaines, souvent exprimée à travers des médiums innovants. Brunelia est également réputé pour son approche unique de l’art, fusionnant des techniques traditionnelles avec des méthodes modernes pour créer des pièces qui défient les attentes et captivent le public.

Né aux environs de Darthmouth college en 1956, il a développé un amour pour l’art dès son plus jeune âge. Après avoir été abreuvé des plus grands artistes mondiaux, il a commencé à améliorer son travail, gagnant rapidement l’attention pour son style distinctif et sa vision artistique. Malgré son succès, il reste éloigné des projecteurs, préférant se concentrer sur son art plutôt que sur la célébrité.

Ses expositions sont des événements très attendus, bien que rares, attirant des amateurs d’art de partout dans le monde. Ses pièces sont souvent décrites comme étant à la fois introspectives et universelles, offrant une fenêtre sur l’âme humaine tout en invitant à la réflexion personnelle.

Frédéric Brunelia continue d’inspirer et d’influencer le monde de l’art, tout en maintenant une aura de mystère autour de sa personne et de son processus créatif. Son engagement envers l’art et son désir de rester en dehors des feux de la rampe font de lui une figure unique et respectée dans le domaine artistique.

OLIVIER BATTINO

Paris rencontre la mode

BIO

Formé au Studio Berçot à Paris, Olivier Battino a fondé sa propre marque de vêtements à la fin des années 90. Ses premières collections, caractérisées par leur élégance épurée et leur aspect féminin, ont rapidement séduit une clientèle tant parisienne que japonaise. Son talent a été reconnu par la presse, notamment dans des magazines tels que Elle ou Marie Claire.

Au début des années 2000, il a collaboré à plusieurs collections pour la société Wise au Japon (notamment la ligne Ascenseur by Olivier Battino). En 2010, il s’est tourné vers l’enseignement du stylisme de mode à l’école Esmod. En 2012, il a conçu plusieurs collections pour La Redoute et a relancé sa propre marque.

Depuis 2020, Olivier Battino a entamé diverses collaborations artistiques, notamment avec des talents tels que Michal Korman ou Karine Adrover, pour créer des collections de vêtements arborant des motifs exclusifs dans un esprit coloré et joyeux.

En 2023, sa renommée l’a conduit à être sélectionné pour concevoir les nouveaux uniformes des agents de la Tour Eiffel.

ART9KA

Paris rencontre la street

BIO

Artiste tunisien, ka vit et travail à Paris. Autodidacte, il recherche et expérimente differentes techniques autour du pochoir et du street art, s’inpirant d’univers divers tel que la géométrie, la ville, la société ou encore la musique.

ECLECTIK & Co presente
ALISON BIGNON

Paris rencontre l’immersion dans l’émotion

BIO

ECLECTIK & CO  Inspiring Art & Artisanat fondé par Vida BABAEE évolue dans le secteur du Luxe, Art et Artisanat d’art et accompagne, les artistes émergents ou établis dont l’œuvre témoigne d’un voyage intérieur au fond de l’être avant sa matérialisation par le savoir faire.

Dans cette perspective Eclectik & Co – Inspiring Art & Artisanat envisage l’Art, non pas comme objet de spéculation mais plutôt comme LIEU de métamorphose, lieu de l’émergence de tous les champs du possible voire lieu par excellence de la rencontre, de la connaissance de soi-même ou de la reconnaissance de l’autre. Dans les lieux de vie comme de travail, Eclectik & Co crée des scénographies qui permettent une immersion dans l’énergie créatrice de l’artiste au travers son oeuvre.

Alison Bignon : Artiste franco – mauricienne, diplômée de l’Ecole Nationale de Chaillot puis, plus tard, des Beaux Arts de Versailles avec les félicitations du jury. Alison a commencé sa carrière artistique en tant que metteur en scène de théâtre (théâtre de la Tempête, Cartoucherie de Vincennes) et comédienne avant que sa passion de l’enfance ne la rattrape pour la conduire définitivement vers les arts visuels.

Depuis une dizaine d’années, elle travaille autour de l’archivage plastique et visuel de la notion d’émotion. Sa banque de données émotionnelles ou les « Carnets de chagrin » est une boîte à outil anthropologique qu’elle réactive à chaque fois qu’elle se met à dessiner ou peindre dans l’intimité de son atelier.

Dans ses dessins, ses peintures mais aussi ses gravures et ses vidéos Alison joue d’un alphabet graphique abstrait pour traduire sans autant donner un sens de lecture, les histoires de ses contemporains. Cela prend la forme de compositions abstraites colorées et musicales aux entrelacs et variation infinies pour la réalisation desquelles elle ne s’interdit aucune technique. Aquarelle, huile, acrylique, encore mais aussi résine et fils cousus : la matière vivante des émotions ne se satisfait pas seulement de technique et nécessite aussi de l’engagement.

 Alison est représentée par Eclectik & Co- Inspring Art & Artisanat en France, La Miaja Gallery à Singapour et Kevin Barry Gallery à Los Angeles & San Francisco. Krystel Ann Art Gallery à Bruxelles

A propos de Frédéric

Frédéric Bourret a exposé une quarantaine de fois de New York à Berlin, Genève à Paris… Son travail est reconnu par les collectionneurs, les spécialistes mais aussi les profanes qui apprécient ses séries qui présentent des thèmes et des approches chaque fois renouvelés. Par ailleurs, trois livres dédiés à son travail ont été publiés.

Bio

Le parcours photographique de Frédéric Bourret a commencé en 2000 en tant que photographe autodidacte à New York. Les instantanés capturés lors de ses déambulations matinales ont rapidement attiré l’attention et ont été exposés dans une galerie renommée à Paris. À travers l’objectif de son appareil photo, il a partagé sa vision unique de la ville, mettant en avant les lignes architecturales et créant des compositions graphiques d’un New York presque désert aux premières heures du jour.

S’appuyant sur ce succès initial, animé par une profonde curiosité et une passion pour la science et les mathématiques, il a poursuivi son parcours artistique en capturant les éléments invisibles cachés dans le monde qui nous entoure. Les éléments du quotidien ont pris alors une dimension exceptionnelle à travers son regard.

Cette approche se reflète dans tous ses thèmes, qu’il explore la perception des reflets, le passage du temps et la théorie des cordes symbolisée à travers un voyage en train, l’influence de la lumière sur le corps féminin, ou la posture d’attente à travers différentes cultures.

« Le plaisir conféré par Behind Waiting réside en partie dans cette progression, dans ce glissement, strate après strate, au coeur d’une image apparemment neutre. Dans une brillante contradiction, ces images-vitrines figent le réel, autant qu’elles déploient le regard du spectateur quelque part, là derrière… Plus loin qu’il ne l’aurait soupçonné. » Louise Blouin Média

Sa perspective unique sur le quotidien nous invite à regarder différemment des aspects que nous avons tendance à négliger. Il a reçu le prix « coup de cœur » de la Bourse du Talent. Il a exposé à New York, Paris, ainsi qu’à Genève et dans plusieurs galeries comme le Manoir de Cologny et la Galerie Verdeau. Des journaux tels que La Tribune de Genève, Connaissance des Arts et Le Figaro lui ont consacré des articles. Il est décrit comme « capturant l’intensité de ces moments cachés et mystérieux avec élégance et sincérité (Evene, Le Figaro)« , « ayant une vision très particulière de la ville qui ne dort jamais (Le Nouvel Observateur)« , et « étant un artiste et un homme libre, curieux de tout, qui s’aventure là où le mène sa créativité. Il a exposé à New York, Paris, Berlin, Genève, et même à Art Basel. Il touche à toutes les catégories, la rue, le conceptuel, le nu, et cela lui va (London Street Art Magazine)« .

« Débarrassée de ses couleurs, de son activité bouillonnante, réduite à la pureté de ses lignes au point de frôler l’abstraction, la Big Apple de Frédéric Bourret retrouve sa tranquillité et son humanité. » Connaissance des Arts, Magazine d’Art, France

« Frédéric Bourret est un artiste et un homme libre, curieux de tout, qui s’aventure là où le mène sa créativité. Il a exposé à New York, Paris, Berlin, Genève, et même à Art Basel. Il touche à toutes les catégories, la rue, le conceptuel, le nu, et cela lui va. » London Street Art Magazine